Stérilisation hopital - Mot-clé - urgencesSterilisation-hopital.com, blog sur la stérilisation des dispositifs médicaux recyclables, stérilisation hospitalière ou industrielle.2022-07-08T15:54:04+01:00Yves Bretteurn:md5:64c9d19e5b7a0a6fd2d2a6aeb6ed56e0DotclearIncertitudes de rentréeurn:md5:e09d29e68f310ee5dd80d6504e7d26632010-09-08T07:42:00+01:002010-09-08T06:50:50+01:00yves bretteTravailler en stérilisationARSbloc operatoirechirurgiegardehopitalnuitpoissypoissy saint germain en layesterilisation centraleurgences <p>La ligne de partage d'activité entre le site de Saint-Germain-en-Laye et celui de Poissy est l'objet de nombreux remaniements actuellement. Si l'on y ajoute la réflexion engagée sur l'organisation des urgences chirurgicales de nuit, beaucoup d'interrogations planent sur l'exercice à court et moyen terme de la stérilisation centrale bi-site (sans même parler du nouvel hôpital).
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"C’est un document choc que «le Parisien» - «Aujourd'hui en France» s’est procuré. Selon cette note de l’agence régionale de santé, le nombre d’hôpitaux assurant les services de nuit en Ile-de-France devrait passer de 6 à 11 par département à un seul.</p>
<p>Pour les uns, c’est un simple document de travail.</p>
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<p>Pour d’autres, une « proposition officielle » des autorités sanitaires. En tout cas, en découvrant le 9 juillet, ce projet confidentiel, la plupart des participants à la réunion organisée par l’agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France ont eu un petit choc. Selon ce texte d’une quinzaine de pages que nous avons pu nous procurer et intitulé « Permanence des soins hospitaliers : organisation et financement », trop de blocs opératoires tournent au ralenti la nuit. L’ARS — présidée par le socialiste Claude Evin — propose donc une refonte drastique de l’organisation des hôpitaux, entre 18 h 30 le soir et 8 heures le matin, ainsi que le week-end et les jours fériés. « Un seul bloc devrait être ouvert pendant vingt-quatre heures dans chaque département », suggère carrément le texte.</p>
<p>En clair ? Alors qu’actuellement entre 6 et 11 établissements par département assurent des urgences chirurgicales de nuit, demain si ce projet était adopté en l’état, il ne resterait qu’un seul établissement — appelé « tête de pont ». « Cette rationalisation doit aboutir à assurer un égal accès aux soins sur tout le territoire (…) et rendre le dispositif plus efficient », affirme le document. C’est-à-dire moins cher.</p>
<p>Un contre-projet en préparation</p>
<p>Si beaucoup d’hospitaliers sont favorables à une réorganisation, le caractère radical de la note heurte même les plus modernistes : « On met dans le même panier la période 18 heures-minuit, pendant laquelle la vie continue et où les patients arrivent en masse à l’hôpital, et la période après minuit où l’activité est quasi nulle », regrette ainsi François Aubart, le président de la Coordination médicale hospitalière.</p>
<p>Quant au secrétaire général de la Fédération hospitalière de France (FHF), Jean-Pierre Burnier, il s’insurge : « Quelle est la légitimité d’un projet de refonte régional qui oublie Paris, alors même que 21 établissements y font encore des gardes de nuit? » Une réorganisation analogue est en projet en province. « Ce document de travail vise juste à lancer la réflexion », tempère Claude Evin. La FHF peaufine actuellement un contreprojet."
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source : http://www.leparisien.fr/economie/menaces-sur-les-services-hospitaliers-de-nuit-05-09-2010-1055488.php</p>